Pour information, la convocation à l'AG du gymnase de Beulieu le 13 novembre 2009 à 09h.55
[recto] ASSEMBLEE des maître-sse-s
Vendredi 13 novembre 2008
à 09h.55
à la salle des maître-sse-s du bâtiment principal
Ordre du jour proposé :
• Le point sur l’affaire Anny Hertig
• En quoi cette affaire est une affaire exemplaire (voir au dos)
• Vote pour dénoncer les méthodes de la Direction générale de l’enseignement postobligatoire (DGEP) et lui demander la réintégration d’Anny Hertig jusqu’à ce que la lumière soit faite sur cette affaire
Françoise Emmanuelle Nicolet
(SUD Education)
verso]
S’il est possible de licencier avec effet immédiat un-e enseignant-e sur la base de la conviction du Directeur général de la DGEP et que ce dernier utilise le conditionnel pour motiver le licenciement, la présomption d'innocence en prend un sale coup. Qui sera la prochaine cible ? Qui peut prétendre que ce ne peut pas être lui ou elle ?
Pour ce que nous (SVMS et AVMG réunis dans SUD Education) avons pu voir dans d'autres affaires devant le Tribunal de prud’hommes de l’Administration cantonale (TRIPAC), si les reproches faits à Anny Hertig étaient par la suite avérés, cela lui vaudrait au
maximum un avertissement dans le cadre d'une procédure ordinaire conforme à la loi sur le personnel (LPers). Cette affaire marque donc bel et bien un tournant dans la gestion du personnel par le département. Nous sommes toutes et tous concerné-e-s.
Note : Notre collègue Anny Hertig avait deux contrats de travail : un avec la DGEP, dorénavant rompu (effet immédiat) et l’autre avec la DGEO (direction générale de l’enseignement obligatoire). Ce dernier contrat lui permet de gagner encore à peu près à moitié sa vie…