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Brèves de l'AVMG
Les Brèves N°36 (16 décembre 2021)

 

En attendant la soirée sur le 360° que SUD organisera dans les premiers mois de 2022, nous vous livrons quelques réflexions sur des sujets qui font notre actualité. Pour le meilleur : notre hommage à une collègue hors pair. Pour le pire : il y a le choix. Heureusement qu’il y a aussi le rire !

Dans ce numéro : L’esprit derviche / A l’hôpital, ce sont les malades qui dérangent et les élèves à l’école / Taraneh toujours bien à gauche / Pages de gauche présente ses excuses / Ecole de commerce: «ça va secouer!» / Nos meilleurs vœux pour 2022, sans carottes ni bâton!

Cette année 2021, un directeur de gymnase parlant devant des caméras officielles s’est entre autres interrogé sur la motivation des maître-ess-es de gymnase. Il s’est demandé (nous le citons mot à mot) « comment gérer des enseignants qui sont plus ou moins assurés de garder leur poste ? ». Il a ensuite conclu plaisamment que, en matière de management, « plus que la question du bâton, c’est la carotte qui est importante ! » (interview complète ici). Eh bien, quant à nous, c’est une année 2022 sans carotte ni bâton que nous vous souhaitons, c’est-à-dire pleine du désir d’apprendre et de faire apprendre - « donner à voir », comme disait le poète ! Haut les cœurs, chères et chers collègues, et, malgré la malice des temps, meilleurs vœux pour l’ânée … pardon, l’année qui vient !

 

 


 
Rentrée 2021-22 : numéro spécial des Brèves N°35 (29 août 2021)

 

En ce début d’année scolaire, nous estimons utile de diffuser largement les grands axes de la résolution votée à l’unanimité par l’Assemblée générale de l’AVMG qui s’est tenue le 1er juin 2021. Adressée à Madame Cesla Amarelle, Cheffe du DFJC et à la Conférence des directrices et directeurs des gymnases vaudois (CDGV), elle pose des revendications pleinement d’actualité.

Maintenant que les réunions sont à nouveau possibles en présence dans nos établissements, gageons que nous saurons saisir l’occasion de débattre et faire entendre notre voix sur ce qui touche notre enseignement et nos conditions de travail. Ceci sans nous laisser enfermer dans un espace démocratique qui tend à se réduire. A ce titre, nous dénonçons que la consultation en cours sur l’évolution de la maturité gymnasiale « marche sur la tête » en imposant aux collègues de se prononcer au pas de charge sur des plans d’études dans leur(s) seule(s) branche(s) d’enseignement sans échange avec les autres files et collègues. Le tout sans possibilité d’avoir une vue d’ensemble de la position de chaque enseignement dans la construction générale de la maturité, puisque la révision de son règlement est soumise à la consultation d’autres organes. Lire la suite en suivant ce lien.

 

 
Les Brèves N° 34 (4 mars 2021)

 

Au menu de cette livraison : la défense de l’enseignement en présence, dans un cadre qui garantisse des conditions de travail et d’études à taille humaine, l’éloge de la nuance et une introduction à la techno-béatitude, sans oublier la pensée de l’insubmersible Héron. A lire en suivant ce lien.

 

 
Les Brèves N°33

 

Après trois numéros spéciaux (avril, juin et août), voici une livraison plus classique. Non pas que la normalité soit revenue mais l’envie de partager ne serait-ce que quelques-unes de nos activités. Un numéro solidaire et militant à lire en suivant ce lien.

Une gratification que l'employeur aurait oublié de vous verser ? Lettre-type disponible ici. Pour rappel, les conditions d'octroi, dans la directive lisible ici.

Bonus : L'enseignement de l'ignorance et ses conditions modernes de Jean Claude Michéa : https://laperruqueblog.files.wordpress.com/2017/01/jean-claude-michea-l-enseignement-de-l-ignorance.pdf

Réponse de Madame Cesla Amarelle à notre demande de prise de position publique à lire en suivant ce lien.

 
Rupture du lien de confiance - Numéro spécial des Brèves (août 2019)

Affaire Leignel : fin et suites

Après avoir dénoncé la brutalité administrative de la DGEP, mis en garde contre les dangers de procédures extraordinaires disproportionnées et néanmoins appelé de nos voeux une solution heureuse à cette triste affaire, nous devons déplorer aujourd'hui sa conclusion catastrophique : notre collègue Philippe Leignel a été licencié avec effet immédiat à la mi-été. Après trois mois d'une enquête administrative parodique, menée systématiquement à charge, tenant pour des faits les allégations des accusatrices, l'autorité d'engagement a proposé un règlement transactionnel inacceptable pour notre collègue, puisqu'il impliquait son renoncement volontaire à l'enseignement, un silence absolu de sa part sur son affaire, et de fait, l'acceptation de sa culpabilité. Ce sera le rôle de la justice de rétablir le droit.

D'un banal conflit scolaire entre un enseignant et un groupe d'élèves, qui aurait dû être traité par la direction, transformé en une véritable cabale destructrice par des plaignantes aidées en cela par une mère politicienne, la Direction générale de l'enseignement post-obligatoire (DGEP) a fait un pataquès général aux conséquences ravageuses ; à commencer pour notre collègue dont la carrière de trente ans (qui au Département ou à la tête des services peut se targuer d'une telle longévité ?) jusqu'ici sans taches, est sèchement interrompue, et de manière probablement irréversible, si l'on se réfère à la jurisprudence en lien avec l'article 61 de la Loi sur le personnel (LPers). Il va dès maintenant devoir se battre devant les tribunaux pour faire rétablir son honneur et son intégrité professionnelle. Lire la suite en suivant ce lien.

 

 

Affaire Leignel : fin et suites

Après avoir dénoncé la brutalité administrative de la DGEP, mis en garde contre les dangers de procédures extraordinaires disproportionnées et néanmoins appelé de nos vœux une solution heureuse à cette triste affaire, nous devons déplorer aujourd’hui sa conclusion catastrophique : notre collègue Philippe Leignel a été licencié avec effet immédiat à la mi-été. Après trois mois d’une enquête administrative parodique, menée systématiquement à charge, tenant pour des faits les allégations des accusatrices, l’autorité d’engagement a proposé un règlement transactionnel inacceptable pour notre collègue, puisqu’il impliquait son renoncement volontaire à l’enseignement, un silence absolu sur son affaire, et de fait, l’acceptation de sa culpabilité. Ce sera le rôle de la justice de rétablir le droit.
D’un banal conflit scolaire entre un enseignant et un groupe d’élèves, qui aurait dû être traité par la direction, transformé en une véritable cabale destructrice par des plaignantes aidées en cela par une mère politicienne, la Direction générale de l’enseignement post-obligatoire (DGEP) a fait un pataquès général aux conséquences ravageuses ; à commencer pour notre collègue, dont la carrière de trente ans (qui au Département ou à la tête des services peut se targuer d’une telle longévité ?) jusqu’ici sans taches, est sèchement interrompue, et de manière probablement irréversible, si l’on se réfère à la jurisprudence en lien avec l’article 61 de la Loi sur le personnel (LPers). Il va dès maintenant devoir se battre devant les tribunaux pour faire rétablir son honneur et son intégrité professionnelle.

 

 
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